«…prenant son point de départ dans les beautés d’ici-bas (…) partant d’un seul beau corps de s’élever à deux, et, partant de deux de s’élever à la beauté des corps universellement ; puis, partant des beaux corps, de s’élever aux belles occupations, de s’élever aux belles sciences, jusqu’à ce que, partant des belles sciences, on parvienne, pour finir, à cette science sublime, qui n’est la science de rien d’autre que de ce beau surnaturel…» |
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