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C’est une de ces fleurs qui s’exhibe,
une de ces fleurs qui sait jouer des couleurs,
une de ces fleurs qui efface toutes les autres,
une de ces fleurs qui se sait être une rose.
Elle suinte de miel jubilant qu’on la prenne,
mais prenez gare malheureux ne la saisissez pas,
elle vous tend les bras, mais elle ne se butine pas,
car c’est une des fleurs du male, une fleur maudite.
Dissimulées sous ces charmes avérés,
ses épines empoisonnées attendent votre saisie,
vous la serrez, vous lacérant
enivré de sa beauté vous n’arriverez à la lâcher
A votre insu, de plein gré,
à son insu, de plein gré.
Tendis que vous vous viderez de votre sang,
vous hypnotisant, elle consumera votre âme.
Jusqu’à ce que, Vous vous rendiez à l’évidence,
jusqu’à ce que, chair et âme meurtries, la lâcherez,
vidé, empoisonné, devenu faible et fou. |
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"Airant sur la grande toile au clair obscure vespéral d’un écran toute aussi fatigué. Arpentant ces convergences de mon clan, le visage rayonné mais non rayonnant. En risette rêveuse une ride s’esquisse, le tic tac des clics cesse le regarde figeant. Rayonnant le prince, finement dessiné, habilement sculpté, à la genèse approprié. Renaissant retrouvant, force et courage, toc à sont écran lui soumettant mon être. Au bale des questions, se suit le jeu de la séduction jusqu'au pacte d’une entrevu. J’en suis comblé, ivre comme je n’l’ai jamais été d’un homme virtuel jamais vue. Puis ivre de déception comme je l’ai tan été car remis ou aboli tel il peut paraître. Les jours s’allonge nue à ta place, croissant ma déception le doute mute certitude. Des dizaines de clic pour tenter l’insensé, command réussir à rivaliser avec Lyon. Lyon ces centaines de beau jeune homme tous libertin, prêt à t’offrir la béatitude. Command réussir à te séduire alors qu’il y tant mieux que moi en bas de chez toi. Attendant un signe glanant les détails je resombre face à cet écran tout aussi figé.
Mon p’tit prince du net, ne te verrai-je jamais que dans ce doux rêve déraisonné." |
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