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Nombril de mon monde
Un, m ‘ arracha d ‘ma léthargie affective,
de dizaine, un m‘troubla ce jour paisible,
ce regard, il ouvrait à l ‘inaccessible,
il avait le pouvoir de m‘enivrer de vie.
Ce pouvoir, ce rare don de me donner la force,
si les abysses de ses pupilles me reflétaient,
si par douce providence l ‘amour s‘y affichait,
j ‘pourrais puiser en lui cette prodigieuse force.
Motrice des grands hommes façonniers de ce monde,
ce divin remède à mon non sens de la vie,
cette holocauste de ferveur chassant l ‘immonde,
ce si doux charisme rayonnant d ‘harmonie.
Il devint, mon nombril, mon monde, mon élu. |